de l'amour, de l'amour, et de la rupture.

Hello mes amis des vieux qui puent la pisse dans les bus !!

Comme beaucoup le savent, mon ex-petite amie à rompue avec moi le vendredi 1er avril.
Une tristesse d'autant plus grande que cette union idyllique avait commencé le même jour, quelques heures auparavant.
Mais je vais vous montrer aujourd'hui que malgré ce court laps de temps, nous en avons vécu des choses, et ce en vous narrant cette journée heure par heure. :

14H03 : 
C'est là que je l'ai vu pour la première fois, Jessica Galane.
Elle était magnifique, éblouissante dans son habit de pouffiasse acheté chez Jennyfer.
C'était un fille tout ce qu'il y a de plus naturel, excepté le fait que son visage était enduis de 3 tonnes 5 de fond de teint tel une japonaise boutonneuse.
Ses cheveux châtains clair d'une légèreté rare flottaient dans les airs alors qu'elle s'avançait dans ma direction.
Son soutien-gorge rembourré et son string aisément dissociable dans son mini-short la rendait d'autant plus sublime.
Les lèvres glossé, les yeux mascarrés, les jambes épilés, elle semblait être un rêve !
C'était la fille parfaite que tous les hommes hommes voulait.
Lorsqu'elle riait, elle avait l'air bête, mais tout le monde riait avec elle. Lorsqu'elle pleurait, elle avait l'air bête, mais personne ne pleurait, tout le monde la consolait.
Personne ne pouvait résister a son charme.
Pourtant elle était toujours célibataire, et ce pour une raison qui m'échappait.
Cependant ce jour là, cela allait être différent.

14H23 :
Cela fait maintenant 20 minutes exactement que je la regarde sans oser aller la voir, elle, son verre a la main, près du buffet de cette fête pourrave.
Quelle idée de faire une fête la journée ?
Le fait que je n'aille pas la voir depuis tout a l'heure est peut être aussi du au fait que je me suis renversé du soda sur le pantalon par mégarde et que j'attends que ça sèche.
Peut être plus probable comme raison.
Les minutes avancent, mon pantalon à séché, je continue de la regarder mais je ne peux toujours pas bouger une seule de mes jambes.
L'amour me rend handicapé moteur.

14H31 :
Alors que mes jambes sont comme fourrées de fourmis, je n'en croit pas mes yeux, elle se dirige vers moi.
Et quand je dis vers moi, c'est pas un "vers moi pour aller aux toilettes juste à coté", non, elle se dirige réellement vers moi.
Pris d'une peur totale, ma vessie se laisse subitement aller pour déverser son venin jaunâtre tout le long de mon entrejambe.
Je me renverse aussitôt du soda sur le jean pour feindre un accident.
Et j'ai l'air con et mouillé.
Arrivée a mes cotés, elle se colle dos au mur et me lance, souriant, un "Salut, ça va ?"
Pris de panique je balbutie une sorte de "oh mmh bouai roh buof".
Et j'ai l'air con et mouillé.
Sans même se préoccuper de ma réponse elle me demande "Comment-tu t'appelle ?"
"Adri Elric. Enfin Adrien mais sur internet je.. enfin quand je .. oui Adri Elric.", c'est tout ce que je trouve à répondre.
Et j'ai l'air con et légèrement moins mouillé.
"Je sais pas pourquoi mais j'ai envie de mieux te connaitre. Ça te dirais qu'on se barre pour aller boire un verre ailleurs ?"
"Oh bah hé oh bah oui." sont les mots que j'ai choisi au hasard pour servir de réponse.
Et j'ai l'air con mais je bande.
Mon coutelas pointant vers la sortie, nous quittons la fête ensemble, et je jubile en pensant à ce que ressentent les mecs de cette "soirée" me voyant partir avec cette bombasse...fille de mes rêves.

A SUIVRE ....